RECHERCHER Titre Auteur Annee Nom Thème ...    


VIGNETTE TITRE AUTEUR RESUME
image du livre Rue Katalin

Roman 2006

SZABo Magda

Rue Katalin


Magda Szabó
Roman 2006

"Nous restâmes assis en silence, comme de braves frère et soeur, et pour la première fois de ma vie, je pressentis que les morts ne mourraient pas, que ce qui avait un jour été vivant sur cette terre, sous quelque forme que ce soit, était indestructible." Les morts demeurent: Rue Katalin en donne une magistrale illustration. A Budapest, des années après la disparition de la jeune Henriette, les membres de trois familles vivent sous l'emprise de sa présence. Et, d'outre-tombe, la jeune fille nous introduit dans la vie naufragée de ceux qui furent ses amis: Balint, Irén, Blanka, M. et Mme Elekes... Que s'est-il passé pendant la guerre, rue Katalin? Quels événements ont acculé ses habitants à la détresse et au désespoir?

image du livre La ballade d'Iza

Roman 2005

SZABo Magda

La ballade d'Iza


Magda Szabó
Roman 2005

Dans sa maison de la Grande Plaine, Mme Szöcs attend qu'on Vienne la chercher : son mari est En train de mourir. À l'hôpital, Vince ne la reconnaît pas, et sa Dernière phrase est destinée à Iza, Leur fille trop aimée. Une fois son père enterré, Iza Emmène sa mère vivre avec elle Dans son appartement de Budapest. Elle a tout décidé, fait le Tri entre meubles et objets à garder Et à abandonner, arrangé la Chambre, sans demander à la Vieille dame - qui pourra «enfin Se reposer» - ni son avis ni ses Envies. Peu à peu, la fragile vieille dame Se pétrifie dans la non-existence Qui lui est ainsi offerte, jusqu'au Jour où elle décide de retourner Dans son village...

image du livre La porte

Roman 2003

SZABo Magda

La porte


Magda Szabó
Roman 2003

"Mes rêves sont des visions absolument identiques qui reviennent inlassablement, je fais toujours le même rêve. Je suis sous le porche de notre immeuble, au pied de l'escalier, derrière la porte cochère au verre armé inexpugnable, renforcée d'une armature de fer, et j'essaie d'ouvrir la serrure. Il y a une ambulance dans la rue, les silhouettes des infirmiers, floues à travers la vitre, sont d'une taille surnaturelle, leurs visages enflés sont entourés d'un halo, comme la lune. La clé tourne. Je m'escrime en vain."